La date du 8 mars, reconnue comme la journée internationale des droits des femmes, est chaque année mise en valeur à Coudekerque-Branche depuis que j’ai la chance d’en être le maire.

Une journée qui devrait se tenir 365 jours par an (et même 366 cette année) car agir pour les droits des femmes, c’est d’abord agir pour qu’il n’y ait pas de différences. C’est agir pour l’égalité !

“C’est aussi l’occasion de saluer les accomplissements des Coudekerquoises de tous les horizons (économiques, associatifs, sportifs et bien d’autres) et de tous quartiers de notre commune.”

N’oublions pas, par exemple, que si notre ville a pu subvenir aux besoins de ses habitants pendant la 1ère Guerre mondiale, alors que nombre d’hommes étaient au front, c’est grâce au travail des ouvrières qui ont continué de faire fonctionner les usines locales, notamment les filatures.

D’ailleurs, symbole des villes des Flandres : le géant est à Coudekerque-Branche une géante. Joséphine La Peule, surnom donné aux employées des filatures très présentes à l’époque.

Preuve d’un engagement sans faille depuis 2008 : notre commune a été la 1ère ville du littoral à ériger une stèle en l’honneur d’une figure du féminisme, Simone Veil, à dénommer des rues en l’honneur de Coudekerquoises célèbres mais aussi, en plus des symboles, d’apporter un soutien concret en valorisant leurs actions comme dans ce magazine.

“Si la couverture représente les élues du conseil municipal, c’est avant tout parce que celles-ci permettent de conjuguer Coudekerque-Branche au féminin, au nom de toutes les Coudekerquoises.”

Aussi, en mettant en place par exemple des salons et expositions dédiées aux artistes féminines ou encore en créant des ateliers d’autodéfense à destination du public féminin.

Coudekerque-Branche se conjugue très bien au féminin !

 

 

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