La Voix du Nord explique la démarche qui va être entreprise le dimanche 2 février pour prendre toutes les précautions quant au déminage d’une bombe de la deuxième guerre mondiale retrouvée suite aux travaux du chantier de construction de logements route de Bourbourg.

A l’heure d’aujourd’hui, il n’y a aucun risque ( la bombe est enfouie ) je suis de très près personnellement, au jour le jour, ce dossier depuis la découverte de l’engin ( durant les vacances de Noël ) avec les services de police, de la préfecture, les services de santé et de déminage.

Nous allons prévenir en amont les habitants du secteur à évacuer pendant le temps de l’opération ( tout au plus la matinée du dimanche ). Le choix du dimanche a été fait comme cela il n’y a pas l’école ni le collège ce qui rend les choses plus simple.

La demande de ne pas être présent ( la ville ouvrira l’espace Jean Vilar pour tous ceux qui n’auraient pas trouver un point de chute dans la famille ou chez les amis et nous serons ravis de vous y accueillir avec café croissant et diffusion d’un film pour les enfants ) résulte d’un principe de précaution au moment du déminage en lui même de la bombe.

Je serai physiquement présent sur place, dans le Vieux Coudekerque et, tout comme pour la crise de l’eau au printemps dernier où vous avez pu mesurer le sérieux et la réactivité de la municipalité, je vous tiendrai au courant en direct sur le site internet de la ville et sur les réseaux sociaux afin que les riverains concernés ( les rues aux alentours du secteur qui seront précisées dans le courrier ) puissent être rassurés et rentrer au plus vite chez eux dès la fin de l’opération ( période courte, je tiens à le rappeler ).

Vous savez pouvoir compter sur moi.

 

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