
C’est une réalité… et je sais que certains de mes collègues ont du mal à vivre cette lâcheté gratuite.
Pour ma part, pas question de me couper d’un moyen de communication et d’un lien avec nombre d’entre vous. Signe de ces échanges : par exemple, mon Facebook Live est très suivi, les questions-réponses y sont nombreuses, vues et revues à de multiples reprises.
Alors, pour la haine de quelques-uns, je n’abandonnerai jamais tous les autres.
N’OUBLIONS JAMAIS : ON ENTEND BEAUCOUP LES QUELQUES-UNS QUI SONT CONTRE…
MOI, J’ÉCOUTE PLUTÔT TOUS CEUX QUI SONT POUR !!!
